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5. Rapatriement [Jian - Bar]

UNHOLMERE
UNHOLMERE
Messages : 175
Lieux de vie : Sous la ville, sous ton lit, dans les mers et entre les incendies, dans ta colère profonde, juste assez pour te rendre fou et après... dans ton âme, jusqu'à ce qu'elle ne soit plus.
Job/Fonction : destructeurs, Appelés du chaos que tu es. Samael, Lobster, Bathory, Ah Puch, Eve, and so one. Les rejetons déglingués de cette bonne vieille source.
Faceclaim : bloop inni
Dim 14 Mai - 12:17
RAPATRIEMENT

*      *      *      *      *

En sortant de la voiture, Bar jette son mégot sur la chaussée, l’écrasant du pied avant de se diriger vers l’arrière de la voiture. En ouvrant la porte, il découvre Jian, à moitié assis, qui tente également de sortir. Au vu de ses yeux totalement confus, il ne semble pas comprendre grande chose. Mais c’est sans trop attendre que le jeune homme l’aide à sortir, glissant un bras autour de son corps pour le maintenir debout, avant de s'avancer vers son bâtiment. La résidence était petite, cosy, avec trois appartements qui entouraient une cour centrale où fleurissaient les fleurs d’une de leurs voisines. A cette heure tout le monde dormait. Parfois en rentrant dans la matinée, Bar rencontrait la fille de la famille d’à côté, qui allait à l’école. Et elle le saluait toujours et lui de même. En ouvrant la porte, il aida Jian à retirer ses chaussures, avant d’aller le déposer sur le canapé.

-Okay… souffla-t-il, en mettant les mains sur les hanches. On va te laver, au moins pour faire un peu baisser ta température et te changer. Puis tu vas aller dormir dans mon lit, ça marche ?

--

Ses yeux se rapprochent de lui quand Bar le saisit et Jian sent direct son odeur. Il sent bon, c'est quoi ? Puis rapidement, la portière n'est plus, et ils entrent dans un endroit plein de verdure, une maison pluri-appartements, typique de certains quartiers de Bangkok, des fleurs, un bruit d'eau, ou c'est peut être une gouettière, n'empeche que c'est de l'eau. Toutes ces infos, il les retient, des fois qu'il aurait besoin de s'échapper.

Inutile de dire, que retirer ses rangers montantes, bien qu'ouverte, c'est pas une victoire, il se prend un pied dedans, se rattrappe au mur et à l'épaule de Bar, échappant un léger... désolé et un gros mot à peine soufflé. ET finalement le canapé ou Jian s'écrase dans un gémissement de soulagement. Il est trop moelleux, il veut rester ici, fusionner avec le plaid, ou les coussins, devenir un canapé.

Et plusieurs infos le réveillent juste un peu plus.
- Me quoi dans ton lit...?
Ouais non, il a juste tout mélangé.
- C'est pas un peu rapide, qu'il mugit dans le coussin, à moitié mort.

--

Pour la défense de Jian, il était complètement éteint. Bar le regarde, comprenant bien qu’il ne veut que se fondre dans les coussins. S’accroupissant pour être à son niveau, il lui touche légèrement l’épaule.

- Te laver. Dans la salle de bain. Et après. Au lit. qu’il explique, beaucoup plus lentement.
En se relevant, il le redresse et lui touche le front. La fièvre n’aide pas, mais il faut le rafraîchir et lui permettre de se coucher en se sentant bien. Et encore une fois, il faut que Bar fasse la maman. Bien décidé à ne pas le laisser dans cet état, il le relève aussi, l’entraînant dans la salle de bain où il le cale dans le carré de douche. Évidemment, il s’attend à des réactions de sa part, comme par exemple, refuser qu’il le déshabille. La classique…

--

le frisoté rouvre un œil quand il le secoue un peu, voyant sa main en gros plan. Joli la main, plus fine que la paluche de son ainé. D'ailleurs il a quel age Bar? Il a l'air d'être un peu comme lui? Plus vieux? Il se redresse de force, tête un peu dodelinant, et se laisse emmener jusqu'à la salle de bain ou il écrase ses fesses dans son baggy noir sur un siège assez bas. Il est puni, ça y est ? Dans sa tête, il entend les grilles de la cellule se fermer d'un coup et la panique le fait sursauter, cherchant des yeux soudainement vifs mais fatigué , le gardien ou la porte de barreau mais ya rien. Juste Bar, face à lui qui a décidé de lui oter une fringue. Il comprend qu'il est dans la salle de bain, et l'odeur du savon te ramène un peu sur terre. La pudeur il ne connait pas trop, en prison, on apprend à pas l'être. Quelques secondes à observer la main de bar et sa chemise rouge et il comprend. Faut qu'il se lave...qu' il a dit c'est ça?Il préfèrait mille fois prendre une cuite comme par le passé, que d'être dans cet état, c'était la merde totale.
Un reniflement, le ventre qui digère, assez lourd, il entreprend maladroitement d'enlever sa première veste épaisse noire, puis vient la seconde rouge et moins épaisse, il finit en noir, baggy et tee shirt dévoilant ses bras, ses poignets chargés de bracelets qui ont tous une signification. Une chaussette vole dans le coin, puis une deuxième, et il manque de tomber, se rattrapant au bras de Bar qui traine. Puis sans complexe, il attrape son tee shirt et le dégage, s'emmelant un peu les pinceaux... laissant apparaitre un corps musclé, fin à la japonaise, mais dont on devine la pratique régulière de sport, et des cicatrices qui viennent de la prison. Aucun tatouage, aucun piercing sauf sur les oreilles où ils s'alignent.

- Je pue ptn.. ça fait un moment... que..
Il met son tee shirt en boule.
- j'ai pas pu.. m'laver... désolé ...
Il avait honte, lui qui faisait toujours attention à son image un minimum, là, même ses cheveux tiraient la gueule, presque plat sur sa tête entre poussière, crasse et sueur de la fièvre.

--

Et contrairement à ce qu’il pensait, Jian commence à se déshabiller sans pudeur. Bien. Bar, l’aide, lui servant autant de maintien que de déshabilleur. L’écoutant alors s’excuser, il haussa un sourcil, ne stoppant pas ses mouvements pour lui retirer ses derniers vêtements. Il voit bien qu’il tient à peine debout, mais ça va le faire pour ce qu’ils ont à faire.

- T’excuse pas. Dans le coin, t’es pas le seul à terminer dans cet état. qu’il le rassure.
Une fois sûr qu’il était nu, oubliant les bracelets qu’il ne permettrait pas de retirer, Bar s’applique à l’aider à se laver. L’eau est tiède, mais elle doit lui paraître froide. Il lui passe dans les cheveux, sur le corps, sans vraiment se préoccuper de la nudité de l’autre garçon. Ce n’était pas le premier corps à poils qu’il voyait, et certainement pas le dernier.

Eau, puis savon, il l’aida à faire mousser ses cheveux, prenant soin de ne pas en mettre dans ses yeux. Vu son état, un seul passage devrait suffir. S’il veut se faire une douche de prince, il devra attendre de pouvoir supporter la chaleur. Pour éviter de se mouiller, Bar avait également retiré son t-shirt dans l’action, ainsi que sa veste en jean qui traînait sur le couvercle des chiottes. Bao allait lui devoir cher pour ce qu’il faisait pour son petit frère actuellement. Au moins un repas au resto japonais pour compenser.

Il lui aurait bien fait la conversation, mais il préférait le rappeler à l’ordre pour qu’il reste éveillé. Et il n’avait pas vraiment envie qu’il se mélange les pinceaux comme tout à l’heure.

- Okay, tu es propre. Tiens… Il lui donna une serviette simple pour qu’il s'essuie, l’aidant aussi à sortir du carré de douche, avant de lui toucher les joues. Ta fièvre a baissé… Je reviens.
Ce n’était qu’un effet pour quelques heures tout au plus, mais assez pour qu’il puisse dormir au moins. Sortant de la salle de bain, il allait chercher un pyjama propre, un des siens. Revenant dans la salle de bain, il les lui présente.
- Besoin d’aide pour t’habiller ?

--

- qui ça.. , ton... Euh... Petit ami?
Il n'a aucune idée de comment l'appeler. Si ça se trouve ils ne sont même pas en couple.
Il finit nu comme un ver. En temps normal il aurait préféré garder le boxer mais vu son état autant mental que physique, d'un il ne pourra pas su opposer et, pour il est trop crade, il se défilé lui même... Il doit faire partir tout cas même si sa peau doit rougir! Il n'est pas magnifique mais en taule on apprend a tout nettoyé tout le temps sinon c'est morpions, poux et trucs pas nets issus des autres locataires des cellules voisines. Oui les motions ça a des pattes et les micoses dans les douches! On y pense pas tant qu'on l'a pas vécu. Plus jamais... Il a même si mal a revivre normalement, a ne pas cauchemarder.. ou se réveiller en sursaut a cause des bruits. Même un homme, cas le marque.

Cela dit il n'est pas non plus impudique a ce point et du coup, salle pour salle, il a quand garder le te sort en bande sur le bassin, s'accroupissant dans la douche ou il va faire un malaise de tension.

L'eau lui déferle sur le cou, le dos, il ruisselle, et oui pour lui, vu sa fièvre, l'eau est tiede a froide mais déjà soulage de pouvoir se laver, il se tait et encaissé malgré la chair de poule qui n'ait que ses épaules puisse le haut de son corps. Il fermée les yeux. Le japonais relève un peu les tête, un œil moi ouvert quand le savon commence à toucher sa peau puis ses cheveux, attaquants le cou comme il peut, une main a plat sur le mur a côté pour ne pas perdre l'équilibre. Ça craint... Qu'on laisse comme ça, sa fierté en prend un sacré coup... Ya que Bao qui avait fait ça mais c'était Bao. Bar c'était différent. Pourquoi? Il n'en savait trop rien. Peur être parce que c'était un mec comme lui et de sa génération...

L'eau ruisselle de nouveau sur son corps qu'il a frotté autant qu'il pouvait... Penché en avant, il espère ses mèches longues, découvrant les côtes de son crâne rasé. Depuis que son aîné lui avait fait cette coupe il l'avait définitivement adopté.

Il déchire ses mains, faisant bruisser des bracelets, avant de se relever, laissant le tee shirt par terre dans un coin. Il se sèche dos au mur après avoir reçu la serviette, sentant les mains fraîches de bar sur ses joues, relevant les yeux sur lui, pour comprendre. Oui?

Mais il s'en va. Ah. bon, essuyage alors. Méthodique, t'en as forcément loupé mais c'est pas grave.  Et.. un éternuement lui vient. Ah non putain ! Il met sa main sur sa bouche et en fait trois autres.
- mais merde... , Un murmure contre lui même...
Il relève les yeux au pijama, la serviette maladroitement sur l'entrejambe, la tête encore mouillé. Il tend la main, le remerciant encore une fois, par réflexe a la japonaise, et un sourire fatigué et discret.
- j'vais essayer.

Le pantalon passe en premier, appuyé au mur, un pied puis l'autre, un cascade frolée, mais c'est bon. Heureusement qu'il y l'élastique parce que ses hanches sont moins larges d'une taille environ. Cas tombé un peu mais ca va. C'est plutôt en bas que ça pose problème. Il regarde ses pieds a moitié avalé par le tissu... Sérieux? ?? Un soupir. Il s'accroupir alors que sa tête va moyennement bien et fait deux ourlets vite fait. Puis prend le haut, le passe et se sent pas super bien d'un coup. La tension probablement. Alors il rejoint bar, juste les doigts apparents dans les manches mais il s'en fout, il veut juste s'allonger...

--

- S’il te plait, ne parle pas de lui maintenant… soupira-t-il simplement.
Petit-ami, si c’est comme ça que les autres le percevaient, ça lui allait. Phil lui tapait sur les nerfs, à subitement retomber dans ses travers, alors qu’il lui avait juré de ne pas s’y remettre. Il l’énervait, lui donnant envie de lui claquer une bonne fois pour toute la porte au nez. Mais il y avait toujours quelque chose qui le retenait. A chaque fois différent, à chaque fois un peu plus insupportable.

Bar et Phil se sont rencontrés à la sortie d’une boîte, un soir. Bar avait besoin de feu, Phil avait un briquet, et même si l’autre ne parlait pas, Bar s’est senti attiré. Était-ce les yeux ? Phil, il était mécano avant de travailler pour Tuay. Il avait fait une connerie de taille, se retrouvant viré de son établissement avec interdiction d’y remettre les pieds. Bar avait été curieux, comme tout le monde, mais il ne lui avait jamais expliqué. Tuay lui avait déjà dit que cela devait avoir un lien avec ses addiction à des drogues dures et fortes. Mais lui-même a spéculé. Bar lui, il était étudiant avant. Clean, comme tout le monde, il voulait devenir infirmier. Sa famille était moyenne, lui ayant offert une opportunité en or, qu’il avait complètement gâché en faisant son coming out. Couper, les fonds, le logement, les études. Il s’était retrouvé à la rue. La foi bouddhiste ancrée dans les principes avait eu raison de leur amour pour leur fils. Avec son cursus, il avait vendu ses aides à certaines boîtes de nuit qui le payaient pour éviter trop d’incident pendant les soirées événements. Sans doute que Phil était complètement défoncé quand ils se sont rencontrés. Sans doute que Bar était en mal d’amour aussi.

Revenant avec le pyjama, il décida de laisser Jian se changer seul, sortant de la salle de bain. Il ouvrit son téléphone pour découvrir plusieurs messages de Phil, mal écrit, sans queue ni tête.

[T où ?]
[Ptn ya le lou garou quu m regade mal]
[rEVIENS bAR]
[Tu maim plu ?]
[Moa je t’aim]
[J’ai mngé le p1 pa fini]
[Jai enve de toua]
[bAISOU]

Toujours très gracieux et très discret. La porte s’ouvrit au moment où il envoyait une réponse rapide [Je reviens.]. Jian se tenait dans l’encadrement, le pyjama beaucoup trop grand pour lui, arrachant un sourire à Bar qui se rapprocha pour l’aider à avancer dans le séjour. Ils dépassent le canapé et arrivent dans la chambre. Décalant la couverture, il laisse Jian s’allonger, l’installant le plus simplement possible. Il vérifie qu’il a une bouteille d’eau à côté de lui. Il dépose un petit linge humide sur son front pour garder la température assez basse.
- Je vais devoir te laisser, mais je reviens le plus vite possible, okay ? Ça va aller…

UNHOLMERE
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Dim 14 Mai - 12:20
Oh il le voit bien le sourire sur sa gueule au Bar quand il passe la porte, tanguant, dans ce grand pyjama. Comment meme pas dix centimètres de différence ou peut être que si, peuvent donner une différence pareil dans les fringues? Ils ont quoi comme bras les thailandais? Des râteaux? Tu regardes un peu autour de toi, ça va un peu mieux parce que la fievre est un peu moins forte grace à la douche mais le mal de crâne est apparu, et tu fronces le nez, sous la douche, te tenant le coté du visage alors qu'il te conduit vers la chambre, du moins, tu penses, le lit plutot grand qui apparait devant et cette couverture qui s'ouvre, un appel à un sommeil de mille ans, loin de ce monde de fou! oui ! A lui.

Un peu pateux, il s'assoit pour se laisse tomber sur le coté, dans ce coussin mou, meme s'il a un peu les cheveux mouillés... un gémissement de soulagement lui échappe, et un sourire de bien être involontaire se faufile sur son visage, yeux fermés, sa main arrivant pour agripper le coussin en mode doudou portatif. Oh le pied. Ce lit était le pied. Même chez toi c'était pas comme ça, et surtout en prison les paillasses de matelas fin n'était pas comme ça. Mais il se fait un peu remettre droit sur le dos par Bar, qui lui colle un truc sur le front, tout froid. Un autre bruit plus enroué s'échappe de ta voix, et tu l'écoutes, tirant la couette, le plus haut possible parce que tu as froid, alors que t'as de la fièvre. Indéniablement, le véritable épuisement, celui qui peut tuer, c'est vraiment nul. MAIS NUL!

Tu fais un léger oui de la tête. Tu vas pas bouger. Plus jamais tu sors de ce lit, pire qu'un gosse, pour une fois dans ta vie, toi qu'on a privé d'enfance avec tous leurs devoirs honorables à la con, du paraitre, de leg etc . Toute façon, tu es déshérité alors qu'est-ce que tu t'en fous maintenant.

L'appartement se fait silencieux, vide. Tu ne te poses plus de questions. l'odeur du drap, de ses fringues, le calme, le fait d'être dans un lit fermé à clé en sécurité sans aucun connard pour convoiter ton cul de force, ou de toxico qui veut se squat, ou encore de flic qui te chasse d'un lieu... plus de question de je vais manger quoi demain? Est-ce que je vais tenir au froid? Pourquoi j'ai mal ici? Etc ... rien, il s'effondre dans un sommeil profond, et ce en dépit de la fièvre. Il est trop épuisé. Il finit par se retourner par reflexe sur le coté, le linge sur son front tombe, son visage s'enfouit dans la couette comme un chat... Les heures défilent, son corps récupère lentement, se libèrant progressivement de la fièvre en transpirant... mais il ne sen rend pas compte, il dort comme jamais il n'a dormi...

Il ne sait pas si quelqu'un est revenu dans la nuit. Peut être que Bar a été très occupé , mais quand il se réveille, avec le mal de tête en moins, crevant de chaud, et en age, Bar n'est pas là. L'aube semble se frayer un chemin dans le ciel nocturne. D'ici une heure, l'aurore percera et envahira la maison. C'est vraiment beau ici. Il beugue lentement, jambes écartés, bras ballants au milieu à observer autour de lui, dans le paté. ça va mieux, il n'est pas super fier mais il se sent mieux quand même , meme s'il va devoir redormir, il le sait.

Il se lève lentement, faisant gaffe pour ne pas tomber, mais son équilibre est revenu, il sent juste très fatigué. Son ventre a certainement digéré le repas copieux aussi, lui redonnant l'énergie qu'il devait avoir pour vivre. Les fonctionnalités primaires remises en route, il se dit qu'il a sacrément envie de pisser et de se laver. Encore oui, mais seul cette fois-ci parce que... même si le pantalon ça va.. la chemise, elle, elle est trempée.. il va chopper froid s'il vire pas ça. Il se traine d'abord au WC , ça change que de pisser contre un mur. Puis vire ses habits et va dans la douche. il prend un peu plus de temps de la veille, se relavant bien les cheveux, le corps de partout, frottant et quand il sent qu'il tire un peu sur la corde, il stoppe l'eau et sort pour se sécher... Il renfile le pantalon qui lui tombe sur les hanches et garde la serviette sur le cou, pour ne pas en foutre partout avec ses cheveux, puis ressort, pour s'approcher de la fenetre en se sechant les cheveux. Il a toujours adoré les levers de soleil.

5. Rapatriement [Jian - Bar]
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